chair de poule la colo de l'horreur

chapitre1

CHAIR DE POULE
LA COLO DE L’HORREUR



Je m'appelle Thomas Hunt, je suis un garçon de douze ans, je fait 1m53, cheveux brun noir, yeux beige.
Mon histoire commença au début des vacances je devais partir en colo avec deux de mes meilleures amies nous avions découvert c'êtes nouvel colo deux semaines avant, le nom de cette colo nous à sauté aux yeux "la colo de l'horreur" sa nous a tout de suite plus mais voilà je ne savais pas ainsi que mes copains que nous allions devoir affronter durant ces vacances.

- Thomas tu vas être en retard à l'école.
S'était un le dernier jours d'école de la semaines mais aussi la dernière semaines avant les grandes vacances.
J'attendais ses vacances avec impatience car j'avait été inscrit à une colo avec plusieurs de mes amis.
Je ne pouvait plus tenir debout, je me précipitait pour aller à l'école de toute façon je me demande pourquoi ils veulent nous faire aller à l'école vu qu'on n'avait que 2 leçons.
La je trouvais Ted Carter et Yann Jones.
Je me joignis à eu pour me mêler à la discussion et leur parler de demain.
- Salut tom bien dormi ? me demandèrent t'ils en cœur.
- Tranquille, et, leur répondis-je, sais choiaite en tout qua dernier jours d'école et demain 4 semaines à passer à la colo de l'horreur.
- Oui je suis d'accord, me répondit Ted sais vraiment génial tout sa.
- Moi aussi je suis dac, mais je trouve que cet années à passé drôlement vite, sa me rappelle des souvenirs, nous dits Yann.
- Surtout que l'année prochaine on passe oh collège. Leurs dis-je.
- Mais... on vas aussi se faire bizuter par les anciens sa va être horrible.
- Je suis encore et malheureusement d'accord avec toi Yann. Leurs dis-je.
Tout d'un coup la cloche sonna et nous entrâmes pour la dernière fois dans cette école qui nous a accueil pendant deux ans entier.
Nôtre professeur monsieur olivier entra en trombe dans la classe il avait l’air tout excité.
- Je vais vous annoncer le programme d’aujourd’hui, nous dit-ils.
Nous retînmes notre souffle.
- Cartier libre et bien sûr vous pouvez rentrez à la maison.
On entendit hurler dans toutes les classes, finalement se ne sais pas si mal passé.
Mais c’est demain ou le pire va commencer et de sa je n’en savais encore rien mais si j’aurai su, je vous jure j’y serais jamais aller.

Le lendemain matin je me réveiller de bonne heur et pris déjà mon sac pour le mettre dans la cuisine à l’étage en-dessous.
Il devait être 7h du matin et le bus ne passe qu’a 9h, sa ira long pour moi car j’étais impatient.
J’entendit aussi mes parents se lever et se demande qu’est-ce je fichai la a une heure pareille, puis, enfin le bus arriva je me précipita directement dehors pour charger mes affaires, mais vous voyez comment son les parents.
- Tu as tout prit tu es sûr ? me demanda ma mère.
- Oui j’ai tout prit, lui dis-je agacé.
- Alors fait bon voyage mon chérie.
- Adieu Man adieu Pa.
Et je rejoignis le bus qui devait m’emmener au camp, je vit alors mes copains assis tout au fond et je les rejoignis, alors nous commençâmes à nous demander ce qui ns attendais la bas
On pensais qu’il y aurais des espèce de manège pour nous faire, des films d’horreur, des programmation de fantôme pour nous faire peur la nuit…
Cela faisait déjà une heure con parler, quand une voie retentit dans le magnétophone :
- Bonjour tout le monde, je voie que vous discuter bien entre vous, mais ce plaisir ne dura pas plus longtemps, car nous arriverons au camps dans 5 minutes veuillez enlever tous vos déchets merci.
Quand le magnétophone s’arrêta, je me suis précipiter vers la fenêtre pour voir le paysage du dehors.
Je remarquai que nous étions en pleine forêt et que nous roulions sur un sentier étroit qui été parsemé de bosse et de fosse.
Tout d’un coup le bus fit une embardé, presque tout le monde se retrouva par terre dans le couloirs.
Je me retournait et vit que Ted avait eu la peurs de sa vie, il était accroché au rebord de la fenêtre, il avait le visage crispée par la peur et était complètement figée, il nous fallut un bon bout de temps à Yann et à moi pour le rassure que tout était passé et qu’il n’avait rien a craindre.
5 minutes passèrent avant que le car ne s’arrêta net et de nouveau la voix au magnétophone retentit :
- Bienvenue a la colo de l’horreur.
A peine que s’est mot furent prononcé tout le monde commençant a regarder par la fenêtre, mais nous ne vîmes rien, quelques un criait au chauffeur.
- Sait une blague, vous n’allez tout de même pas nous laisser ici au beau milieux de la forêt ?
- Qui a dit que vous alliez rester seul en forêt ? un moniteurs viendra vous chercher mais attendant désandé du car avec vos baguage.
Mais…
Le chauffeur lui fit signe de se tèrent.
Les portes s’ouvrèrent donc à la volée ainsi que les soute à baguage, nous prîmes toute nos affaire et sans prévenir le car démarra et sans alla en nous laissant seul au beau milieux de la clairière.
Il nous fallut une bonne demie heure pour que finalement quelqu’un apparaisse au milieux des arbres.
Quelques enfant crièrent des ouf de soulagement et d’autre qui étaient foux de joies.
Mais tout d’un coup je vis que la personne qui se déplaçaient entre les arbres étaient couvertes d’un manteau noir et comme je pus le remarquer elle flottait.
- Faîtes-attentions, criait-je, je n’ait pas un hêtre vivant.
Tout le monde commença alors à regarder la silhouette qui se déplaçaient, ou plutôt, qui flottaient et comprirent aussi tôt, alors se fut la vraie pagaie, tout le monde se dirigea vers les arbres pour se protégé de cette créatures.
Moi aussi je voulu me réfugier derrière un arbre, seulement, tellement qu’il y avait beaucoup de bousculade, quelqu’un me renversa au passage, je m’étendit de tout mon long sur le dos, la créature s’approcha peux a peu, tout le monde regarder la scène, moi par contre je voulu me relever et courir mais plus rien ne m’obéissait, j’était la couché sur le dos, la créature pencher sur moi, je pouvais sentir sa respiration, tellement qu’il était proche.
Il se pencha d’avantage et me dit quelque chose à l’oreil pour que seulement moi puisse l’entendre.
- Si je te fais peurs ceci n’est que le commencement de ton séjours ici.
Il se releva pour voir les autres et leurs crié :
- Votre séjour ici sera le plus effrayant que vous ne le penser, dit-il d’une voix grave, donc pour vous réjouir un peut, il prit son souffle et cria : BIENVENUE AU CAMPS DE LA PEUR LES NOUVEAUX.

Tout le monde fut heureux d’entendre cela après la frousse qu’ils on eut.
C’est alors que le moniteur commença à parler :
- Bien, vu que vous étes nouveaux, oncle Rique voudra vous dire les règlement du camps vous assigné le bungalows dans lequel vous devrez dormir et finalement vous aurez vos groupes avec qui vous ferez des activité ou vous vous inscrirer.
Donc dans un quart d’heure nous nous retrouverons au bâtiment principal ou oncle Rique vous éxpliquera tout cela, bien sûr il vous dira les noms de tout les moniteurs ainsi de ceux que vous aurez comme surveillant dans vos bungalows.
Pour l’instant déposé tout vos baguage ici et allait faire un peut de connaissance avec les autres.
Tout le monde s’éxécuta, sauf moi
- Eh… Tom tu viens oui ou non.
- Non sais bon, allez-y sans moi.
- Allez viens.
- Non, je vous dits.
- Bon comme tu veut.
Je les vis sans aller faire connaissance avec d’autre campeurs venues ici bien avant notre arrivé.
Je commençai à me demander si j’aurait pas mieux fait de rester chez moi, surtout quand le moniteur ma dits << Ceci n’est que le commencement je te le garantie vous aurez la frousse de votre vie>>.
J’était inquiets se moniteur voulait-il vraiment nous effrayer ou été-ce une coutume de la colo de faire peur au nouveau.
Je me rendit compte que les autres allait vers le réféctoire.
Je vis allors que j’étais en retard d’au moins 5 min.
- Oh non, il faut que je me dépêche, sinon gare à la racler.
Je m’approchait du groupe quand j’entendais oncle Rique criait :
- Ah, te voilà toi, bon on peut commencer.
Comment fait-il pour savoir qu’il manquait quelqu’un si il nous avait jamais vus ?
- Bien, comme vous l’avez peut étre remarquer, nous avons 7 bungalows.
Le sept et le meilleur évidemment je vais dire les noms qui serons dans les différents bungalows.
Il commença à dire toute sortes de noms je n’y prêter pas attention car quelque chose dans la forêt attira mon regard, la forêt était toute proche donc on pouvait voir clairement que deux yeux jaunes nous regardais, mais quand oncle Rique dit les personnes du derniers bungalows sa me ramena sur terre.
- Bungalow numéros 7 : Thomas Hunt, Ted Carter, Yann Jones et Matt Adams.
- Yes, s’écriairent Ted, yann et Matt.
Ils avaient l’air d’être content d’avoir été choisi pour étre dans le meilleur bungalows de toute la colo.
- On est les meilleurs, cria Matt
- Je suis d’accord, cria a son tours Ted.
- Méga Top, Fit remarquer Yann.
Ils avaient l’air de se connaître déjà sûrement s’était-il rencontrer durant le moment de discussion, pensai-je.
- Bon alors on prend nos affaire et on vas dans se bungalows si fabuleux, répliqua Ted.
Moi je les suivit sans broncher jusqu’au bungalows, il y avait 3 lits à deux étages, 2 places était déjà prise je décidait de m’installer en haut d’un lit, il fut décidait quand dessous de moi dormirait Ted, on commença à ranger nos affaires dans nos placard quand le moniteurs qui nous a fait peurs à notre arriver, débarqua en trombe des coussins et couvertures sous la main.
- Voici vos couvertures et coussins, comme vous le savez déjà je suis votre surveillant, je m’appelle Chris je suis assez coule avec les gosses de votre âges, je ne suis pas de ces commandant en chef comme dab ok.
Nous hochâmes la têtes et rajouta :
- Extinction des feux à 22 heures et une fois par semaines, exception, à 23 heures.
Je vous laisse déballer tout le reste, à ce soir pour le feux de camps.
Il se retourna et claqua la porte derrière lui, on se retrouva tout les 4, seul dans la pièce.
- Il a l’air sympa notre surveillant, dit Ted en cassant le silence.
- Ouais drôlement, lui répondit Matt.
- Je me demande pourquoi on appelle se camps, la colo de l’horreur, se demanda Yann.
- Vous en faîtes pas sa va venir, leur répondit-je en quittant la pièce.
Les trois garçons étaient interloqué par mon intervention, ils regardèrent la porte un petit moment avant de s’occuper de leurs affaire qui étaient éparpiller sur leurs lits.
Je me dirigeait tranquillement vers le réfectoire quand soudain quelque chose se mit a hurler la mort, un cris inhumains provenait d’une maison sinistre à coté d’un bungalows ou il n’y avait personne vu qu’ils étaient au réfectoire.
Je me rapprochait doucement de la maison en bois, elle était haute de trois mètre, elle avait du bois moisie et avait l’air assez sinistre surtout quand des hurlement déchire une nuit de silence.
J’avançais de plus en plus de la maison, les hurlements se faisait de plus en plus proche à mesure que j’avançais, mon cœur battait la chamade à 100km/h, tout d’un coup une voix cria derrière mon dos :
- QU’EST-CE QUE TU FAIT LA ? hurla la voix.
Je me retournais et était nez à nez avec oncle Rique, Je m’était jamais rendue compte de sa hauteurs, il faisait a peut près 2m de haut, il avit les yeux noirs et une barbe hirsute, A mon avis il était en colère.
- Rien oncle Rique, j’ai entendue des hurlement alors je me suis approcher et…
- Sa suffit, coupa t’il, je vois que tu t’occuper d’autre chose quand je parlais cet après-midi, il est interdit d’entrer dans cet cabane, c’est la cabane interdite.
- Désolé oncle Rique.
- Va au réfectoire.
Je m’exécuté sans me retourner, tout en allant au réfectoire je pensais au choses que pouvait contenir cette cabane interdite, elle contenait sûrement des choses dangereuses qui servirait à nous fichez la frousse ?
Quand j’arrivait au réfectoire, je cherchais mes copains des yeux, je les trouvaient au troisième rangs en compagnie de Matt.
- Qu’est- ce qui t’es arrivais mon vieux on aurait dit que t’a vue un fantôme, me dit Yann.
- Non pire, leur répondit-je.
- Ben dis donc pire qu’un fantôme y a l’enfer, répondit Ted.
- Non c’est autre choses, leurs dis-je.
Je me mit alors à leur raconter les cris abominable qui sortait de la cabane interdite, les avertissement d’oncle Rique, l’engueulade prise.
- Tu crois vraiment que… qu’il y a un monstre pour nous fichez la frousse de notre vie ? demanda Matt.
- Je ne sais pas les gars en tout qua il ne veulent pas con y aille, leurs dis-je en montrant les moniteurs du doigt.
- Et si on allait la visiter pendant la nuit quand Chris dormira à poing fermer ?, demanda Yann.
- Ouais bonne idée, dirent en cœur Matt et Ted.
- Je sais pas les gars et si on se fait choper ? leurs dis-je.
- On se fera pas choper, aller viens, répondit Ted.
- Hum…… bon d’accord, à la tomber de la nuit quand Chris dormira à poings fermer.
Si seulement nous pouvions nous imaginer toute les horreurs, pire que celle qui nous étaient réserver, allions-nous réveiller.

Quand nous avions tous terminer de manger Oncle Rique prit la parole et nous fits découvrir se que nous allions faire durant le feu de camps.
- Bien, pendant le feu de camps, je voudrais que vous vous teniez correctement à table et que vous ne faîtes pas les fous.
Je préviens aussi que le prochain que je vois autour de la cabane, sera punit très sévèrement, faîtes moi confiance, surtout n’y rentrer pas, à moins que vous ne voulez vous faire tuer.
Pour revenir au sujets initiale, le feu de camps est une tradition qui se déroule depuis des siècles dans cette colo, on va aussi vous raconter quelque histoire de fantômes, vous pourrez faire griller toute sorte de choses, j’espère donc que vous vous amuserez, le feux se déroulera en plein milieux de la forêt, ceux qui seront fatiguer avant la fin pourront évidemment aller se coucher, sinon elle finira vers minuit, merci de votre attention.
- Mince, c’est fichu pour la cabane, nous dits Ted.
- On va quand même essayer ? leur demanda Yann.
- Non, on le fera demain soir, leur dis-je, on aurait dit qu’oncle Rique connaît notre plan.
- Qu’est-ce qui te fais penser à sa ? me dit Matt.
- J’en sais rien, mais dès notre arriver comment a t’il su que je manquai, se camps est étrange je vous le dits.
Quand nous avions enfin terminer notre repas nous nous dirigeâmes vers la forêt ou devez se tenir le feux de camps.
Nous prenions un petit sentier fais exprès pour si rendre, il était étroit et la forêt était sombre, seulement quelque filament de lune passai à travers les arbres touffue.
Cela pris 10 minutes avant d’arriver à notre destination, nous étions entourer d’arbres très épais, du bois était étalait sur le sol, un moniteur essayer de l’allumer, je le reconnut tout de suite s’était Chris.
- Salut les gars, alors vous êtes impatient du feu de camps, nous dits Chris.
- C’est qu’un feux de camps apprêt tout, pourquoi on serrai impatient, lui répondit Yann.
- En tout qua vous aurez la frousse de votre vie, dit-il dans un murmure que seulement moi puisse l’entendre.
Que voulez t’il dire par la ? je pensais toujours à cette phrase un peut bizarre dîtes dans un sous-voix.
Finalement je n’y penser plus et m’installa dans l’herbe avec un marshmallows et un piqué dans la main, je rejoignis mes copains assis près du feux que Chris venait d’allumer.
Nous mangions tranquillement en nous disant des blague pour faire rire les autres, quand tout à coups une voix se leva derrière nous, nous faisans sur-sauter, c’était oncle Rique qui voulut nous appeler pour les histoire de fantômes.
En allant m’installer pour les écouter quelque chose attira mon regards, des yeux jaunes nous fixer comme si nous étions des bêtes sauvages, j’étais déconcerter, voilà la troisième fois que je les apercevais, comme si il me suivait.
Tout d’un coup une vois retentit :
- Alors, tu viens Thomas ? ou je dois attendre la St-Glinglin, me dit Oncle Rique d’une vois puissante, mais sans pour autant hurler.
Plusieurs de mes camarades se mirent a rires.
- Oui j’arrive.
- Voilà, maintenant con est tous la je vais vous raconter deux histoires de fantômes, voici la première, celle du brouillard noir…

…Un groupes de campeurs était entrain de marcher pendant des heures, pour aller au plus profond des bois, des sac très lourds était poser sur leur dos.
La nuit commença à tomber, ils entendait des hurlements de renard très puissant qui se rapprochait de plus en plus.
Les campeur n’était pas tout à fait rassurer, surtout en pleine nuit ils demandèrent plusieurs fois au moniteurs.
- On ne peut pas se placer ici pour la nuit ? on commence à être vraiment fatiguer et ces sacs pèse lourd.
- Non on doit s’enfoncer d’avantage dans la forêt, si on veut vraiment camper.
- Mais… on est crever.
Le moniteur ne broncha pas, le voyage dura encore une demi heure sous les plaintes et les protestations des campeurs, ils en avait vraiment marres, puis un dernier osa demander encore une fois dire :
- S’il te plait on peut s’arrêter, on est crever.
- Oui c’est endroit est parfait, commencer à installer vos tentes je fais le feux.
Tout d’un coups Un brouillard très épais se posa lentement sur les campeurs, ils avaient très peurs et ne pouvais même pas voir leur compagnon de devant, 5 minutes plus tard le brouillard se leva, laissant découvrir un spectacle désolant.
Les campeurs étaient mort, leurs corps était lacérer par des griffes qui les ont transpercer, il gisait sur le sol, le sang coulait de partout, ce brouillard à causé leur perte, les fantômes des campeurs parures deux jours apprêt, la police ne s’expliquait pas le massacre car aucun animal n’était capable de sa.
Les fantômes des pauvres campeurs resurgirent quelques instant après, désormais prisonnier de la colo…

Tout le monde avait écouter l’histoire avec beaucoup d’intensité, on pouvait lire dans leurs yeux une peurs incroyable, jamais vus.
Une fille assez jolie, cheveux blond avec des yeux bleu, assise à coté de moi me dits :
- Tu y crois à cette histoire de fantômes.
- Bien sûr que non. Pourquoi je devrais y croire ?
- Parce qu’elles sont vrai.
- Tu rigoles ?
Elle me fit de la tête qu’elle ne rigolait pas du tout.
- Je m’appelle Clara et toi ?
- Je m’appelle Thomas.
- Etes vous prêts pour la deuxième histoire, nous dits oncle Rique
Il y eut un grand oui de la pars des gar4ons et quelques filles, certaine avait vraiment eu peurs et faisait un signe que non.
- Alors voilà, l’histoire parle de la même colonie seulement c’est l’autre groupes, alors voici l’histoire de l’écorcheur….

…Le camps ou était c’est malheureux qui sont morts, après une journée de la tragédie, le camps à décidé de quand même finir c’est colo, les campeurs n’était pas très rassurer, il revenait d’une promenade très longue dans les bois, il fessait nuit comble, ils avaient très peurs et surtout avait repenser à ce qui s’était passer hier.
Mais tout d’un coup des pas furtif furent entendues par deux élèves qui les rapportèrent au moniteur.
- Monsieur nous avons entendues des pas dans la forêt, disait la première fille.
- C’était sûrement des antilopes, répondit le moniteur.
- Mai sa allait très vite, disait la deuxièmes.
- Oh… sa suffit je veut plus vous entendre, retourner dans la file.
Tout d’un coup un petit cris étouffer fut entendue de nouveau par les deux filles.
- Monsieur.
- C’est pas bientôt fini oui ?
les filles ne lui répondirent même pas, elles avançait têtes baissée, elles entendait toujours des petits cris étouffé, mais ne pouvait rien dire.
Une demis heure se passa avant qu’elles ne décident de relever la tête, mais… ce qu’elles trouvèrent leurs coupa le souffle, justement elles ne trouvèrent rien, tout le monde avait disparue.
La première filles cria, sa sœur se retourna vers elle.
- T’en fais pas il ne peuvent pas nous avoir oublier, puis elle se retourna de sa sœur pour crier qu’elles étaient la.
Puis elle entendis un petit cris étouffé, elles se retourna encore vers sa sœur, mais elle avait disparue, elle commença à paniqué, puis elle se sentit flotter dans les aires, elle se débattait, mais rien à faire le monstre (appeler dans ces forêt l’écorcheur) l’avait tué avant quelle ne s’échappe.
Le lendemain deux fiancé se promener dans la forêt du camps, puis quelque chose tomba devant eu, un corps de fillette, elle avait des cheveux blonds, yeux bleu, mais avait le regard vide.
La femme se mit à crier son fiancé appela la police sans tarder, 1h plus tard la police arriva sur les lieux et découvris encore plusieurs corps d’enfant dans les arbres, tous était les petits campeurs de la colo, leur fantômes fit comme les autres ils allèrent les rejoindre pour hanter le restant de leur vit la colo…

Tout le monde avait encore une foi le regard fixe sur oncle Rique jusqu’a quand il ne disent :
- La soirée est terminer, j’espère qu’elle vous a plu, allez tous au lits maintenant.
Sur le chemin du retour je pensais encore a la phrase de Clara « Parce qu’elles sont vraie ».

Le lendemain matin nous nous sommes réveiller à cause de la cloche du déjeuner, nous étions lundi, aujourd’hui nous avions un petit programme : natation, jeu et libre.
Nous commencions par nous habiller en remarquant que les lits de Fred et de David était vide, il devait c’être levé bien avant nous.
Quand nous finîmes de nous habiller nous ouvrions la porte du bungalows pour sortir dans l’air frais du matin qui me claqua au visage, nous nous dirigeâmes vers le réfectoire ou beaucoup de monde y attendais impatiemment con leurs ouvre et d’autre r’allait dans les bungalows, nous croisâmes David et Fred revenant au bungalows se tenant leur estomac.
- Pas la peine…
- D’y aller, nous répondirent les deux jumeaux.
- Pourquoi.
Ils continuèrent d’avancer sans nous répondre, puis entrèrent dans le bungalows.
Nous continuâmes jusqu'à quand nous comprenions ce que les jumeaux voulait dire, nous étions devant la porte du réfectoire ou été accroché un petit mot disant :

Fermeture du réfectoire pour cause de problème survenue, pour manger, vous devrez vous débrouiller pour cher votre nourriture.
Merci de la compréhension

Les moniteurs

Nous étions la ébahie par ce que nous venions de lire, je dus le relire trois fois avant de comprendre vraiment ce qu’il se passait réellement.
- Ils sont devenue fou, répliqua Jones Craft un campeurs de mon âge assez sympathique(sauf en ce moment), il veulent que nous allions chercher notre nourriture nous même, moi je dis qu’il sont devenue fou.
- Mois je dits qu’il veulent nous tester, leur répondis-je.
- Commença nous tester, me répliqua t’il.
- On est au camps de l’horreur non, lui répliquai-je, normalement c’est notre mère qui prépare à manger, donc ils veulent que nous allions en forêt pour que nous rencontrions des bêtes il nous mettent à l’épreuves, c’est moi qui vous le dits.
- Compliquer ton raisonnement, mais il est pas bête du tout.
- Bon moi je veut en tout qua pas crever de fin, nous dits Ted, vous venez les gars ?
Je le suivis avec Matt et Yann jusqu’au bord de la forêt, nous aperçûmes alors des framboise et de myrtille nous commençâmes à les manger, puis nous entendîmes un bruit de grognement affamé, on se retourna pour voir ce qui grognait, mais il n’y avait rien.
- Bizarre j’avais l’impression…, non rien, nous dits Matt.
- Moi aussi j’ai entendue, lui dis-je pas rassuré du tout.
Nous continuâmes d’avancer, jusqu'à ce que Ted, qui était en tête du groupe, s’arrêta net, comme pétrifié, regardant fixement devant lui.
Je lui secouai ma main devant lui, aucune réaction.
- AAAAAAAAAAAAOOOOOOOOOOOOOOUUUUUUUUUUUU.
Nous nous touneâmes vers l’endroit ou regardait Ted, et nous vîmes un loup droit devant nous, nous fixant au moindre geste.
Nous fîmes volte face très lentement.
- Ted, lui soufflai-je, COOOOOOOOOOOOOOUUUUURS.
Puis ils se réveilla d’un coup nous fîmes alors volte face près à nous échapper quand nous vîmes la chose qui pouvait nous arrivait de pire, nous étions encercler.
- Oh non, on est fichu, nous dits Matt.
- Tais-toi et réfléchis comment nous sortir de la, lui dis-je.
- J’ai une idée, s’exclama Yann.
- Alors grouille, lui dis-je
- Il suffit de prendre des objets par terre et de leur lancer dessus.
- Bravo Einstein, mais comment veut-tu con prenne des objets, quand même si on fais un petit mouvement ils nous attaque.
- Euh…
Nous étions la figer, devant des loups affamé et qui nous regardais comme si leur vie en dépendait, on été fichu plus rien ne peux plus nous sauver.
Puis le miracle vin, des cailloux volé de partout en s’abattant sur les loups, qui, mort de peur s’en allait en courant dans la forêt, quelques minutes passait avant que nous puisions voir qui leurs avait lançais des pierres dessus.
Nous vîmes alors arriver Fred et David en courant, ils étaient hors d’haleine.
- Merci les gars de nous avoir sauver, leur dit Ted.
- Quoi merci on a rien fait, nous répondit David.
- C’était pas vous qui nous avait sauver des griffes de ces loups ? leur demanda Yann.
- Si nous on a été attaqué par des renard et qu’on vous a rejoins en courant comment voulez vous que se soit nous.
- Mais alors, qui était celui qui nous a sauvé ? leur demandais-je.

Après cette terrible aventure nous retournions dans nos bungalows, nous attendions midi car on pensée que le sois disant problème saurai été réparé.
- Bon écouter il est 10 heure et si on allait se faire une baignade dans l’étang ? nous demanda Matt.
- Ouais pourquoi pas ? luis répondit Ted, sa nous changera les idée de se matin.
- Ok pour la baignade, lui répondit Yann.
- Pas pour moi les gars, leur répondis-je, j’aimerai être tranquille pour un moment.
- Comme tu voudra, répondit Ted, a+.
- A+.
Ils claquèrent la porte derrière eux me laissant seul dans le bungalows.
Je repensais à l’épisode de ce matin, les loups qui nous encerclait, les pierres lancée et celui qui les a lancé qui étais-ce ?
Je m’endormis alors dans un profond sommeil…

…Je me trouvai devant la cabane interdite avec Ted et Matt, Yann n’était pas la car ils étaient à l’infirmerie entrain de ce faire soigner à cause d’imbéciles qui le coulait sans arrêt jusqu'à ce qu’il en perde le souffle.
Nous nous approchions de la cabane, sans prendre conscience des avertissements que Chris nous avait donné :
- N’allez pas dans la cabane un monstre y vis un monstre terrible.
Nous lui avions répondue que ce n’était qu’une histoire pour les gosse.
Nous continuâmes de marché jusqu’au marche qui y menait, nous les escaladâmes.
Finalement nous allions découvrir ce qu’il y avait de si terrible dans la cabane, nous ouvrîmes la porte à la volé, et nous découvrîmes qu’une bête se cachait au, elle avait des yeux jaune un corps d’humain mais une tête de loup, elle était enchaîné à la paroi, quand elle nous vit elle fit un bond sur ses pattes se délivrant de ses chaîne comme si c’était du sucre.
- Oh non, la lune agit sur elle, leur dis-je, elle devient plus puissante.
Elle courra vers nous avec une allure folle, nous croyions qu’elle nous sauterais dessus et nous lacéré de ses griffes, mais elle n’en fit rien, elle sauta par dessus nos tête se dirigeant vers la porte, la nous entendîmes un hurlement.
- NONNNNNN, LACHE MOI SALE BESTIOLE.
C’était Jones, il nous avait suivie jusque ici, pourquoi nous avait t’il suivit et pourquoi la créatures ne s’intéresser qu’a lui…

- NNONNNNN.
Je me tortillai dans tous les sens, une main me prit l’épaule et me fit réveiller en sursaut, c’était Ted qui était pencher sur moi.
Je me levai d’un bond me cognant ainsi au lit du dessus.
- Qu’est-ce qui se passe, me demanda Ted, ta fais un cauchemar ? Tu parler dans ton rêve.
- Ouais un sacré cauchemar, lui répondis-je, ou est Yann ?
- Ben… Yann est, essaya t’il de dire.
- A l’infirmerie, acheva Matt.
Mon cœur cessa de battre, avais-je bien entendue Yann était à l’hôpital ?
- Des idiots n’arrêter pas de le noyer alors il est tomber dans les pommes, me révéla Matt.
- Mais quel heure est t’il 21 heure, me dit Ted, s’est bientôt l’heure à peine Chris dormira on filera en douce jusqu'à la cabane.
- O,o,o,o…ok, leur répondis je avec beaucoup de mal.
Chris entra en courant dans le bungalows.
- Les gars, votre copain va mieux il se sentira mieux.
- Super.
- Ah dernière chose, si vous êtes comme certains imbécile qui veulent voir à l’intérieur de la cabane, je vous préviens que vous ne sortirai peut-être pas vivant de cette histoire compris , c’est la ou est enfermer le démon à la tête de loup dit l’écorcheur, alors n’y aller pas si vous ne voulez pas connaître une fin tragique.
- Et même si on faisait partit des imbéciles on ne croirait pas à t’on histoire, c’est seulement pour faire peur au gamins, lui répondit Ted.
- Faîtes comme vous voulez, je vous aurez prévenue.
- OK.
Mon cœur tapait la chamade et j’avais la Chaire de Poule, étais-ce un rêve prémonitoire ou tout cela n’était que pur coinsidansce ?

mais sais énorme

ben qu'esst-ce que sa fait ? lol

rien ...